L’impact de la poursuite du développement économique, et du bonheur qu’il est supposé apporter, sur la qualité de l’air est souvent dénoncé : la production industrielle (y compris la production d’électricité dans le cas des centrales thermiques) crée de la pollution atmosphérique. Cet article vise à étudier la relation inverse : dans quelle mesure la qualité de l’air a-t-elle un impact sur la santé mentale et le bien-être subjectif.
La recherche présentée dans l’article a été menée dans le contexte chinois connu pour les graves problèmes de pollution de l’air auxquels la population est confrontée. Les auteurs de l’article montrent que le bonheur hédonique est diminué par la pollution de l’air, et que celle-ci tend à augmenter les symptômes dépressifs.
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