En amont d’un colloque organisé par AG2R la Mondiale en partenariat avec Terra Nova sur le thème des nouvelles attentes des Français en matière de santé, AG2R a sollicité Harris interactive pour interroger les Français sur les préoccupations qui les animent dans le domaine de la santé.

L’article, publié par deux chercheurs de l’Université du Dakota du Nord aux Etats-Unis (Département de psychiatrie et de sciences comportementales, département de la santé de la population), présente une revue des études nord-américaines concernant le niveau de connaissance du radon par le public.

Cette étude de France Stratégie, publiée en décembre 2018, observe que les acteurs sociaux non scientifiques tels que les responsables politiques, journalistes et la plupart des institutions restent les moins bien perçus en termes de compétence et de crédibilité.

Article paru en novembre 2018 sur La revue Canadienne de Santé Publique

Cette étude canadienne, menée par des chercheurs de l’Université d’Ottawa (Faculté des sciences de la santé et École d’épidémiologie), a été réalisée à partir d’une enquête conduite auprès de 557 résidents de la région d’Ottawa-Gattineau afin de mesurer la perception du public vis-à-vis du radon dans les habitations.

En plein cœur du mouvement des « gilets jaunes », un sondage par IFOP montre que 62 % des Français estiment que le gouvernement devrait donner la priorité à l’amélioration du pouvoir d’achat des Français « quitte à aller moins rapidement sur la transition énergétique » tandis que 33 % estiment que la transition énergétique doit au contraire passer avant le pouvoir d’achat.

Cette étude de l’IFOP nous apprend que 79 % des personnes interrogées déclarent être bien informées sur le VIH, ses modes de transmission, ses traitements et sa prévention, mais que ce sentiment d’être bien informé tend à décroitre depuis 2009 (-10 points).

Une enquête annuelle est conduite par EDF sur les sujets de préoccupation des Français, en partant d’un point de vue général pour terminer sur le domaine de l’énergie. Les principales préoccupations des Français relevées dans cette étude sont « la pauvreté et la précarité », « le chômage », puis, à égalité, la « santé et la qualité des soins » et le « pouvoir d’achat ».

Dans le cadre de l’Observatoire Enedis, qui étudie différents sujets sociétaux, une étude a été réalisée en partenariat avec Harris Interactive sur le regard porté par les Français sur les aléas climatiques, le terme « aléas climatique » est naturellement associé au réchauffement climatique et à ses conséquences telles que la pollution et la survenue d’évènements catastrophiques (tempêtes, inondations…).

Étude Harris Interactive pour France Énergie Éolienne
Parution 16 octobre 2018

Dans le contexte des objectifs instaurés par la loi sur la transition énergétique et de croissance verte promulguée en juillet 2015 (réduction des émissions de gaz à effet de serre, augmentation de la part des énergies renouvelables dans la consommation finale brute d’énergie de 23 % en 2020 et 32 % en 2030), France Energie Eolienne s’est intéressée au regard porté par les Français sur la transition énergétique et l’énergie éolienne en particulier.

Sondage Opinionway pour l’ADEME
Septembre 2018

Cette enquête annuelle a été conduite en 2018 sur deux échantillons : un premier représentatif de la population française âgé de 15 ans et plus, et un second de 50 dirigeants d’entreprises de 50 salariés. Elle permet de faire le point sur les évolutions de l’opinion publique à l’égard de l’effet de serre et du réchauffement climatique.

Etude Elabe pour La Mutuelle Familiale, en partenariat avec RES (Réseau Environnement Santé) et l’Humanité
Parution le 21 septembre 2018

Cette étude, menée sur un échantillon de 1003 personnes, représentatif des résidents métropolitains âgés de 18 ans et plus entre le 21 et le 23 août 2018, a mesuré la perception par les Français de l’influence de la qualité de l’environnement sur leur santé.

IFOP pour le Journal du Dimanche (JDD)
Parution 29 octobre 2018

L’étude IFOP pour le Journal du Dimanche, a été réalisée à partir d’une enquête conduite auprès d’un échantillon de 1024 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus entre le 25 et le 26 octobre 2018.

L’institut Odoxa a réalisé en mars 2018 la huitième vague de son baromètre de la sécurité des Français. Bien qu’il ne le recouvre pas tout à fait, ce thème est proche de la perception des risques traitée dans le Baromètre IRSN.

Le Baromètre IRSN montre que le risque relatif aux accidents de la route est un des plus redoutés par les Français. Le sondage réalisé par OpinionWay en juin 2018 sur ce thème approfondit plus précisément la question des comportements à risque des conducteurs en distinguant, de façon pertinente, les petits rouleurs (faisant au plus 4000 km par an) et les gros rouleurs (au moins 20 000 km par an).

L’insécurité, c’est-à-dire les atteintes aux biens et aux personnes, apparaît dans le Baromètre IRSN comme une des préoccupations principales des Français, même si les inquiétudes qu’elle suscite ont sensiblement diminué depuis le début des années 2000. Le sondage ODOXA sur ce sujet n’en constitue pas moins une source d’information tout à fait opportune sur cette question.

L’IRSN a étudié il y a quelques années, dans le cadre de l’étude PERPLEX, les perceptions des personnels des établissements d’expertise sur les risques, et comparé ces perceptions à celles du public. Le présent article, publié dans Energy Research and Social Science, rend compte d’une étude australienne abordant elle aussi la question des perceptions des professionnels et des experts mais en se centrant davantage sur le domaine nucléaire.

L’accident de Fukushima, au-delà de ses conséquences humaines et matérielles, a eu un impact très important sur le regard porté sur l’énergie nucléaire. Dans le domaine des sciences sociales, nombre de travaux ont cherché à expliquer l’évolution des attitudes au sujet du nucléaire après l’accident.

Le Baromètre IRSN suit depuis près de vingt ans l’évolution des préoccupations des Français en matière d’environnement. A ce titre, le sondage de l’IFOP vient apporter un contrepoint utile.

Le sondage de Harris Interactive est l’occasion de faire le point sur la perception du risque tabagique en France, risque qui est abordé dans le Baromètre IRSN sous l’angle du tabagisme des jeunes.

L’alcoolisme est un des risques étudiés par le Baromètre IRSN, avec une série de résultats remontant à plus de vingt ans. Le risque cancéreux associé à l’alcoolisme est le sujet du sondage d’OpinionWay.

La tolérance grandissante, en France comme dans de nombreux autres pays, à l’égard du cannabis donne à penser que les perceptions, les attitudes et les comportements sur ce sujet (qui est indirectement suivi dans le Baromètre IRSN à travers le thème de la drogue) ont tendance à évoluer. L’étude réalisée par l’IFOP pour le compte de Terra Nova et d’Echo Citoyen apporte à ce sujet une information renouvelée et assez approfondie dans le cadre d’un rapport d’analyse très complet. Outre les thèmes de l’usage et de la prévention, qui sont plus directement en relation avec les angles d’analyse du Baromètre, l’étude aborde également ceux des souhaits d’évolution, des politiques publiques et de la régulation d’un éventuel marché du cannabis.

Les lecteurs de cette rubrique connaissent bien le Baromètre IFOP de la menace terroriste.

Comme le montre bien le Baromètre IRSN, le risque lié au radon est encore peu connu : environ un Français sur quatre ne sait pas répondre sur le sujet du niveau de risque pouvant être associé à ce gaz. Pourtant, ainsi que le rappelle l’article présenté ici, le radon est la deuxième cause de cancer du poumon parmi les fumeurs de tabac, et la première parmi les non-fumeurs.

L’étude Energy and Climate Change Public Attitude Tracker est entreprise depuis 2012 par le Department of Energy and Climate Change du Royaume-Uni. Elle est réalisée sur une base pluriannuelle. La dernière vague produite (entre le 28 mars et le 6 avril 2018), qui fait l’objet du rapport présenté ici, est la 25ème de cette série.

Le Baromètre IFOP de la menace terroriste est régulièrement évoqué sur le site du Baromètre IRSN car il permet de suivre l’évolution dans le temps des inquiétudes des Français à ce sujet. La vague de mars 2018 a été réalisée après les attentats de Carcassonne et de Trèbes.

Le département Opinion et stratégies d’entreprises de l’IFOP édite régulièrement des notes d’analyse, intitulées Focus, venant éclairer l’évolution de l’opinion des Français sur des questions politiques, économiques ou sociales. Le numéro 177, daté de mars 2018, se rapporte à l’impact des attentats de Carcassonne et de Trèbes dans l’opinion.

Le risque lié aux produits alimentaires est régulièrement suivi dans le cadre du Baromètre IRSN. Dans ce domaine, le début de l’année 2018 a été marqué par la crise du lait alimentaire contaminé. Une enquête réalisée par Kantar TNS en février donne quelques indications sur l’impact de cette crise dans l’opinion.

Dans quelle mesure les Français sont-ils crédules ? Une enquête menée par l’IFOP sur le complotisme apporte certains éléments de réponse à ce sujet.

Depuis quelques années, l’insécurité semble décliner dans les préoccupations des Français telles qu’elles sont mesurées dans le Baromètre IRSN. La dernière enquête, datée de novembre-décembre 2017, montre ainsi que l’insécurité est passée du 4ème rang dans l’ordre des préoccupations en 2016, au 6ème rang en 2017. Dans ce contexte, l’intérêt du sondage ODOXA est de montrer que le sentiment d’insécurité reste cependant vif.

Avec la COP 21, tenue en décembre 2015, la France semble avoir acquis une nouvelle stature dans la lutte contre le changement climatique, un sujet qui occupe une place notable dans le Baromètre IRSN. Le mérite du sondage réalisé par Harris Interactive en décembre 2017, soit deux ans après la conférence de Paris, est de donner une mesure de de l’image de notre pays à ce sujet dans l’opinion publique.

La question de l’enfouissement des déchets radioactifs a été abordée dans le cadre du Baromètre IRSN. Le présent article, préparé par trois chercheurs de l’Institute for Environmental Decisions de Zurich, propose une nouvelle approche pour étudier l’opinion de la population sur la question des sites d’enfouissement des déchets.

L’enquête réalisée par OpnionWay en mai 2017 (mais publiée en novembre de cette même année), aborde en fait le sujet de l’exploitation des données personnelles des internautes.

La perception des différentes formes d’énergie, aussi bien sur le plan économique que politique ou environnementale a été abordée plusieurs fois dans le cadre du Baromètre IRSN. Dans le contexte de l’après-Fukushima, et des défaillances de l’opérateur d’électricité pendant cette crise, le Japon a libéralisé en avril 2016 son marché de l’électricité. Les auteurs de l’article, Andrew Chapman et Kenshi Itakoa, ont entrepris un an après de faire une étude pour faire le point un an après sur les attitudes et comportements des Japonais sur ce sujet.

Le Baromètre IRSN aborde régulièrement la question de la perception de la science. Le sondage réalisé par Opinion Way apporte des informations complémentaires sur ce sujet.

La perception des risques, si elle est largement liée à un contexte propre à chaque pays, possède aussi une dimension internationale. Des questions comme le changement climatique ou l’énergie nucléaire ont une dimension qui déborde des frontières. Le sondage organisé par l’IFOP à la demande du WWF sur L’opinion mondiale face au changement climatique, en octobre 2017, permet justement de comparer les opinions publiques dans six pays à travers le monde : la France, les Etats-Unis, l’Autralie, l’Allemagne, l’Italie et la Chine.

L’auteur de l’article, Ann Bisconti, est la fondatrice de Bisconti Research, une société d’étude spécialisée dans le domaine de l’énergie. Elle présente dans la revue Progress in Nuclear Energy une analyse des tendances de long terme de l’opinion publique américaine au sujet de l’énergie nucléaire.

L’institut d’étude Viavoice a réalisé en septembre 2017, pour le compte de FHP (Fédération de l’Hospitalisation Privée), un observatoire sociétal. Outre la perception de l’état de santé et du bien-être, cette enquête aborde la question de la confiance, un thème central du Baromètre IRSN. Près d’une personne sur deux déclare faire spontanément confiance aux personnes rencontrées…

Le Baromètre IFOP / Atlantico de la menace terroriste a maintenant un recul de sept ans et de 40 enquêtes.

La France a connu au mois d’août 2017 une nouvelle crise alimentaire se rapportant à des œufs contaminés contenant du fipronil. Un sondage IFOP réalisé sur l’instant (du 16 au 18 août) apporte un éclairage sur les inquiétudes que cette crise a suscitées au sein de la population.

L’article d’Evan M. Mistur (Georgia Institute of Technology) aborde une question rarement posée dans les études consacrées aux perceptions relatives à des domaines comme l’énergie : dans quelle mesure les représentations dans ce domaine varient-elles en fonction de la santé des personnes interrogées ?

Dans l’étude de l’opinion publique, les conversations et échanges informels (en face-à-face ou au travers des outils numériques) jouent un rôle majeur en ce qui concerne la formation et la propagation des représentations. Les auteurs de la présente recherche réalisée au Japon, étudie ce sujet à propos de la conversation sur les risques, et plus précisément en ce qui concerne le risque lié au rayonnement nucléaire de la centrale de Fukushima Daïchi.

La vague 39 du Baromètre IFOP/Atlantico de la menace terroriste confirme que les Français restent fortement préoccupés par cette question.

L’étude « Civil protection » publiée en juin 2017 porte sur la connaissance et les perceptions des Européens au sujet de la protection civile. Elle a été réalisée sur le terrain auprès d’un échantillon de 28 157 personnes âgées de 15 ans et plus représentatif de la population des pays de l’Union européenne.

L’Eurobaromètre a publié en juin 2017 une étude d’opinion consacrée à la perception des Européens en ce qui concerne la sûreté chimique. L’étude, réalisée sur le terrain en novembre-décembre 2016 dans l’ensemble des pays de l’Union européenne (27 929 interview réalisées au total) aborde les différents aspects de ce sujet : l’information sur les risques chimiques, les perceptions relatives à la sécurité dans ce domaine, les responsabilités relativement à la sécurité chimique et l’information disponible sur les étiquettes.

Dans cet article, Marco Sonnberger et Michael Ruddat, deux chercheurs de l’Université de Stuttgart, étudient l’influence de différents facteurs sur l’acceptabilité, en général et localement, des champs d’éoliennes en Allemagne.

Un sujet important traité dans le Baromètre IRSN est celui de la participation des citoyens à la gestion des installations à risque. Hidenori Nakamura, chercheur à Toyama Prefectural University, aborde ici la question de la délibération citoyenne dans le domaine de l’énergie et de l’environnement dans le cadre du Japon de l’après-Fukushima.

La nécessaire prise en compte de la perception des risques par la population dans la gestion des risques est souvent soulignée. Cette perception est le plus souvent issue des informations délivrées dans les médias, mais ceux-ci ne parlent que des risques les plus graves. La recherche présentée ici, qui a été menée aux Pays-Bas, a pour objet de montrer comment les sciences sociales peuvent aider à compléter le discours médiatique.

Le prix des biens et des services est étudié par le marketing au travers de différents concepts, dont le consentement à payer qui est vu comme le prix jusqu’auquel le consommateur est certain de vouloir payer le bien ou service désiré. Différents facteurs peuvent influencer ce consentement à payer. Dans le cas des différentes formes d’énergie, des variables géographiques et sociales peuvent avoir un impact notable. Les auteurs de la recherche japonaise présentée dans l’article s’attaquent à ce sujet.

L’impact de la poursuite du développement économique, et du bonheur qu’il est supposé apporter, sur la qualité de l’air est souvent dénoncé : la production industrielle (y compris la production d’électricité dans le cas des centrales thermiques) crée de la pollution atmosphérique. Cet article vise à étudier la relation inverse : dans quelle mesure la qualité de l’air a-t-elle un impact sur la santé mentale et le bien-être subjectif.