L’enquête du CREDOC confirme une nouvelle fois la sensibilité des Français aux questions touchant à l’environnement.
Cependant, celles-ci apparaissent moins importantes que le chômage. Cette place primordiale du chômage, relativement à la dégradation de l’environnement, est constamment observée depuis 1991, début de la série de questions du CREDOC, sauf pendant la période 2001-2009 où les deux domaines étaient jugés à peu près autant préoccupants, la dégradation de l’environnement dépassant même le chômage en 2008.
S’agissant plus précisément de la question de la biodiversité, cette notion apparaît assez mal connue : un peu plus d’un Français sur deux (57 %) estiment savoir ce que c’est, et cette proportion est à peu près la même depuis 2010.